Julie Holly (pour Julie Hollycock) a commencé sa carrière porno un peu par hasard : contactée un jour sur son compte libertin par un réalisateur qui tourne pour Jacquie et Michel, la belle bordelaise met alors un pied discret sur les plateaux de tournages. Avec son physique, sa profession (professeure, même si nous ne savons pas si c’est vrai ou non) et son envie insatiable de sexe, elle est propulsée en très peu de temps comme la milf « la plus hot de France« .
Qu’est-ce qui fait devenir milf ? Ce n’est pas seulement une question de maturité (Julie Holly n’est pas si « vieille » que ça, elle est née en 1983), c’est avant tout incarner un fantasme dans l’esprit des spectateurs. Et ce regard, Julie a su le capter comme personne. Professeure à la ville, comme à la scène, elle devient dans nos yeux ce puissant moteur d’excitation : celle qu’on désir tous toucher, mais qui ne prend vie qu’à travers sa figure d’actrice porno.
Si sa popularité grandissante et son rapport décomplexé au sexe en fait une des actrices porno les plus en vue du moment, Julie garde totalement les pieds sur terre et n’attend pas du porno français qu’il la fasse vivre. Ce rapport assez libre à la profession l’amène à explorer la pornographie sous différentes formes. On la retrouve certes chez les petits réalisateurs français mais aussi sur sa chaîne Pornhub sous le nom de « Julie Hot Mom » où elle laisse libre court à ses fantasmes, jouant sur la corde sensible du faux-cest.
Julie prend doucement mais sûrement place dans nos coeurs d’éternels post-adolescents.